Ca y est, il est arrivé. Le trailer du troisième film consacré aux Avengers est (enfin) dévoilé sur la grande toile d’Internet avec un rendu plus vénère que jamais. Ca s’annonce immense.
Les fans le réclament depuis maintenant trop longtemps, et leur patience a fini par être récompensée. Infinity War, troisième film consacré aux Avengers de Marvel et réalisé par les frères Russo (Le Soldat de l’hiver ; Civil War), dévoile enfin ses premières images où l’on retrouve l’intégralité de l’équipe emmenée par Tony Stark/Iron Man et Captain America, de retour après son exil consécutif aux événements de Civil War. Sans plus attendre, découvrez ci-dessous la première bande-annonce de l’un des films les plus conséquents et les plus attendus de ces dernières années.
La bande-annonce s’ouvre sur une voix-off collective et prononcée par Iron Man, Thor ou encore Black Widow, expliquant l’idéal que représente les Avengers: rassembler un groupe de personnes spéciales, et gagner les batailles que nous, humains, aurions perdues, faisant ainsi écho au premier trailer d’Avengers en 2012. C’est sous cet angle très guerrier que cette bande-annonce s’articule et dans laquelle nous retrouvons le grand méchant Thanos (incarné ici par Josh Brolin) à la recherche des fameuses pierres d’infinité et dont le visuel présenté ici est impressionnant de réalisme – par ailleurs, il inflige une petite raclée à Iron Man. Parmi les autres personnages emblématiques, nous retrouvons entre autres Black Panther en plein coeur du Wakanda, Black Widow blonde, Vision plus humain que jamais, un Spider-Man qui arbore fièrement son tout nouveau costume et les Gardiens de la Galaxie, dont la rencontre avec les Avengers s’est également faite attendre.
Laissant très peu de place à l’humour, ce trailer – qui s’apprête à casser Internet – annonce également la fin d’une ère dans le Marvel Cinematic Universe, l’une des plus grandes sagas cinématographiques de tous les temps et symbole de l’âge d’or super-héroïque. Le film est prévu en salles pour le 25 avril 2018 chez nous. Et bien sûr, nous trépignons d’impatience – pour changer…